Réalisé par : Rob Schmidt
Scénario de : Alan McElroy, Adam Cooper, Bill Collage,
Avec : Eliza Dushku, Desmond Harrington, Emmanuelle Chriqui
Année de production : 2002
Date de sortie en DVD/Bluray en France : 18 mars 2004
Long métrage : Américain
Saga : Détour Mortel
Synopsis : Un accident paralyse totalement la circulation. Chris ne veut pas manquer son rendez-vous. Il quitte l'autoroute et s'engage dans un chemin de terre pour contourner l'embouteillage. Alors qu'il s'enfonce dans la forêt, il heurte une voiture bloquée au milieu de la route. Ses occupants partaient camper pour le week-end lorsque les pneus ont étrangement éclaté. Le groupe va chercher de l'aide et trouve une cabane. En pénétrant à l'intérieur, le soulagement laisse vite place au cauchemar. Tétanisés par l'horreur de ce qu'ils découvrent, ils n'ont pas le temps de fuir que les occupants arrivent...
Mon avis : Grognements, sang, ablations peu chirurgicales, et tueurs laids comme les 7 pêchers capitaux, c'est ce qu'on retrouve en pagaille dans ce énième film d'épouvante. L'histoire : de gentils et jeunes voyageurs s'égarent en pleine forêt, et vont faire la découverte des coutumes culinaires du pays, à savoir gencives macérées, oreilles confites, et autres spécialités locales. Le divertissement du moment : on sursaute, on hurle devant l'écran "regarde derrière toi !" comme si les personnages nous entendent, on fait beurk environ toute les 6 minutes et on rigole bien aussi (on peu pas dire que les méchants soient très futés...). C'est écoeurant à souhait et ça divertit, au moins dans la catégorie "Epouvante & Horreur ". Petit bémol : le genre de fin qui nous fait redouter une suite ! Petit plus : pas de fille à poil, seins à l'air, en train de courir en criant "au secours", et pas de super scène d'amour interrompue par une hache dans le dos ( d'habitude ils aiment bien mettre ce genre de scènes dans les films d'horreur).
Bref, à se procurer quand on aime se faire des séances rigolade entre potes, sinon une simple location suffira.
Note : 4/5
Par contre, les suites sont d'énormes bouses hélas !